Voici donc deux ans consécutifs au cours desquels nous n'aurons pas eu de printemps. Entre le grand confinement de 2020 et la persistance des températures hivernales de 2021, les attraits de la saison printanière ne semblent pas décidés à parvenir jusqu'à nous. Il faut dire aussi qu'ici, dans le Sud de la France, on vit très peu les demi-saisons, l'été et l'hiver étant les deux grands souverains de nos cieux.
Pourtant native du printemps, j'avoue aimer très peu aimer cette saison, notamment aussi pour ce qu'elle représente. Se découvrir de ses épaisseurs, sortir du voluptueux manteau de l'hiver, accuser le retour de tous les insectes, les jours qui rallongent, avoir de plus en plus souvent chaud... Tous ces signes ont tendance à me déprimer, tandis que les beaux jours de l'hiver sont comptés. Heureusement, il y a dans le ballet des fleurs et la beauté de la nature un puissant réconfort à récolter, mais l'acceptation est toujours difficile pour moi, seule bougonne contre le mur tandis que le monde entier se réjouit de la montée des temperatures (bandes de lâches).
Au printemps j'ai des envies d'escapades, au Royaume Uni si possible. Car il n'y a que là-bas, il n'y a que les paysages anglais avec leurs vieilles pierres et leurs verdures rutilantes qui ont ce pouvoir de me consoler et de me faire me dire que finalement, c'est pas si mal le printemps. Je suis d'ailleurs avec beaucoup d'intérêt la tendance montante actuelle, l'esthétique cottagecore qui disons-le, a quelque chose de réconfortant en ces temps d'incertitude et de crise écologique. Les temps changent, les envies aussi.
Au printemps j'ai des envies d'escapades, au Royaume Uni si possible. Car il n'y a que là-bas, il n'y a que les paysages anglais avec leurs vieilles pierres et leurs verdures rutilantes qui ont ce pouvoir de me consoler et de me faire me dire que finalement, c'est pas si mal le printemps. Je suis d'ailleurs avec beaucoup d'intérêt la tendance montante actuelle, l'esthétique cottagecore qui disons-le, a quelque chose de réconfortant en ces temps d'incertitude et de crise écologique. Les temps changent, les envies aussi.
Mais la grande envie immuable, c'est toujours la lecture. L'hiver fut pour moi marqué par un grand retour à la littérature fantastique, et si j'ai beaucoup aimé me réfugier entre ces pages, j'ai eu envie d'autre chose pour le printemps, un repli vers la littérature blanche, littérature contemporaine, ainsi qu'un retour en force du développement personnel. Comme mes envies de lecture (et peut-être aussi les vôtres ?) vont vraiment de pair avec les saisons, ça se casse clairement la gueule pour le printemps, qui a peine éclos est chassé par l'arrivée de ses gros sabots de l'été. Ce sera donc de (très) courte durée, mais voici quelques pistes de lectures printanières, dans lesquelles peut-être puiser un peu d'inspiration.
L E C T U R E S - Alice au pays des merveilles - Lewis Caroll - La recluse de Wildfell Hall - Anne Brontë - Hamlet - Shakespeare - Le hussard sur le toit - Jean Giono - La mare aux diables - Georges Sand - Anthologie poétique et romanesque - Anna de Noailles - L'éducation sentimentale - Gustave Flaubert - La peste - Albert Camus - Premier amour - Ivan Tourgueniev - La nuit des temps - René Barjavel | L E C T U R E S - Fille - Camille Laurens - Les rois maudits - Maurice Druon - Au bonheur des filles - Elizabeth Gilbert - Brothers - Hua Yu - La fille de l'irlandais - Susan Fletcher - Sommeil - Haruki Murakami |
L E C T U R E S Le cycle Red rising de Pierce Brown - Red rising : tome 1 - Golden son : tome 2 - Morning star : tome 3 - Iron gold : tome 4 - Dark age : tome 5 | L E C T U R E S - Ma vie et mes folies - Peggy Guggenheim - Le monde infernal de Branwell Brontë - Daphne du Maurier - L'edda - Snorri Sturluson - Femmes qui courent avec les loups - Clarissa Pinkola Estés - Mon carnet Glow - Marie Tuffery |

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